Sunday, July 03, 2011

FRANCE:Chauss fight and Savate Pro in a deep crisis

IS THIS THE BEGGINING OF END OF MANY UNSECESFUL ATTEMPTS HOW TO SLOWER SAVATE AND INTERNATIONAL SAVATE FEDERATION.
IS THIS THE BEGGINING OF REAL SAVATE DEVELOPMENT? OR ITS BRAIN CANCER?
NEW APPROACHES, PEOPLE WHO KNOW PROBLEMS OF SPORT SAVATE AND OBSERVE IT IN EVERY COUNTRY, HELPING WITH INTERNATIONAL SEMINARS, AND MANY MANY OTHER THINGS. IT IS A LOT OF WORK TO BE DONE. BUT WITHOUT ANY ORIENTATION AND REAL PLANS MEASURED EVERY YEAR , EVERY MONTH - THERE IS NO HOPE FOR SAVATE.

Source: LES INFOS DU FIGHT (one of the best French combat intrenet media)

CHAUSS'FIGHT - SAVATE PRO : entre réussite et stagnation

CHAUSS'FIGHT et SAVATE PRO ont une base technique commune, une tenue presque identique et pourtant ces deux disciplines connaissent des destins radicalement différents.
La SAVATE PRO qui a été mis en place pour tenter d'enrayer le départ des tireurs élites vers d'autres styles de boxes plus lucratifs connaît un sérieux coup de frein. Après un départ tonitruant en BOURGOGNE avec plusieurs champions de FRANCE élites de savate opposés à des combattants pieds-poings venus du kick boxing ou du full contact, les choses se sont considérablement ralenties malgré quelques balbutiements lors de soirées fédérales où était proposé une rencontre de savate pro un peu comme une exhibition sans réelle envie de développer de la part de la fédération française de savate en quête de leader charismatique pour ses championnats élites de savate qui a connu des époques plus fastes.
Le CHAUSS'FIGHT et ses 712 licenciés fait figure de petit poucet, de David face à GOLITAH et pourtant l'histoire se répète. Avec 9 évènements sur une saison (hors compétition fédérale) la discipline si chère aux marseillais se fait une place avec dernièrement une confrontation symbolique au sommet entre Modibo DIARRA (king de la savate boxe française) et Thomas ADAMANDOPOULOS pur produit pieds-poings (Kick boxing, boxe thaïlandaise et K-1). Si ce style old school a été remis au goût du jour à la suite d'une discorde profonde en matière de développement au sein de la FFSBFDA, l'équipe dirigeante a choisi l'action et le travail de terrain sans polémique aucune avec au finale un certains succès toutes proportions gardées puisque ce n'est que la première saison complète effectuée pour le CHAUSS'FIGHT qui dépend de la FFSCDA.
Si rien ne peut être affirmé sur le futur concret de l'un ou l'autre de ces styles à jamais cousin (beaucoup de travaux sont encore à mettre en place comme le développement international pour le CF ou encore s'astreindre à un vrai calendrier de compétions pour la SBF) le constat d'évidence qui s'impose plus que jamais c'est la réelle volonté de développer chez les marseillais et l'hésitante envie de poursuivre ou pas chez les parisiens. Car un autre constat s'impose dans cette fausse lutte fratricide (les deux parties s'observant de loin): en faisant le choix de partir de zéro, les provinciaux ont afficher le refus de s'enliser dans une attente inutile et contre productive imposée par la direction parisienne qui ne trouve pas de solution pour supprimer ses lacunes et se sortir d'une certaine stagnation.

Admin, le 21.06.2011

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